samedi 18 avril 2015

Interlude equin

Un clin d'oeil, une douce pensée vers mon gros bébé, ma Coraline

Demain c'est promis, le blog redevient félin.
Je viens de recevoir quelques photos de mon gros nounours.
Elle est née fin Mars 1990. Elle m'appartient depuis le printemps 1994.
Elle eu un mauvais départ dans la vie.


Je pourrais  que je l'ai acheté parce qu'il fallait que quelqu'un le fasse, parce qu'il fallait la sauver de la mauvaise situation où elle était, m'en vanter...
Mais ... on s'en fout ! Non je l'ai achetée parce que c'était elle et parce que c'était moi. C'est ça qui est important.
Les chevaux sont des gros nounours câlins. Ils ont un amour immense à donner.
On en a fait des choses toutes les deux, ma jument fofolle et moi. Des courses folles, des balades, des câlins, des jeux. Mais aussi de très sérieux concours de dressage .... sans se prendre au sérieux. D'ailleurs à peu près personne ne fait du dressage avec une jument.


A l'été 2001, les effets de la malnutrition du poulain ont commencé à s'aggraver. Pour moi il n'était pas question de traiter son arthrose avec des anti inflammatoires.
Alors, avec beaucoup de larmes, nos chemins se sont séparés. Elle vit sa vie de petit cheval au pré, avec des copines, dans le Limousin.


Et à voir son embonpoint ..... elle va plutôt pas mal. Je ne vais plus la voir. Trop loin, pas de sous. Et puis à chaque fois que j'y suis allée j'ai été tellement  malheureuse de repartir.
Je me contente de ... faire un chèque tous les mois, pour sa retraite.


J'ai l'impression que c'était hier qu'elle me faisait les poches à la recherche de friandises,ou des gratouilles dans les cheveux, dans le cou, qu'elle se collait à moi.
"Tu me manques mon gros bébé...."


dimanche 12 avril 2015

Jouet disparu et divers

Mystère et printemps

Un billet de fainéante. La chatographe secrétaire elle est fatiguée en ce moment, très fatiguée même.
Fortes contractures musculaires en haut du dos, migraines... un vrai plaisir. Mais ça va aller mieux. On y croit !

Hisia : Il se passe des choses qui ne vont pas du tout ici.
Loustiquette il faut qu'on parle !


Loustiquette : De quoi veux tu parler Hisia ? Un problème ?


Hisia : Un problème ? Ne joues pas à l'innocente. Le problème c'est toi, ou plutôt ce que tu as fais.


Loustiquette : Je te trouve bien désagréable. Qu'est ce que j'ai fait ?
Hisia : J'avais laissé un jouet sous l'escalier et il n'y est plus.


Loustiquette : Un jouet, quel jouet ?
Hisia : Une souris.
Loustiquette : Tu sais bien que je ne joue pas trop avec tes jouets souris.
Alors laisse moi tranquille, je n'y suis pour rien.
Et si tu as fini de m'accuser, je sors.



Hisia : Ca ne va pas se passer comme ça. J'ai des questions à lui poser !


A partir de là c'est portraits sans grand rapport avec le billet ...

Hisia : Loustiquette ne fais pas l'idiote. J'avais laissé une souris, une vraie souris sous l'escalier.
Je suis sure que tu l'as mangée.


Loustiquette : Je n'ai pas pris de souris sous l'escalier. Elle a du partir se cacher ailleurs.


Hisia : Ca c'est pas possible, elle ne bougeait plus.
Je suis sure que tu l'as mangé.


Loustiquette : Je te répète que je n'ai pas mangé une souris que j'aurais trouvée sous l'escalier.


Hisia : Attends un peu ! Tu veux dire que tu as mangé une souris, trouvée dans la maison, mais pas sous l'escalier ?


Loustiquette : Ben oui. J'étais sur les genoux du Papy tranquillement entrain de patouner et de me faire gratter la tête. Nat à Chat est venue me mettre une souris morte devant le nez, en disant qu'elle l'avait trouvée sous l'escalier. Et tout ça d'un air accusateur.
Je lui ai dit que je n'avais rien à voir avec cette souris, mais que mon estomac aimerait bien faire sa connaissance.
Elle a poussé un soupir et me l'a donnée.
C'était gentil de sa part.


Hisia : Donc c'est toi qui a mangé mon jouet avec la complicité de Nat à Chat. Incroyable quand même.
Heureusement que je sais où en trouver d'autres.
Tu n'aurais pas un peu grossi Loustiquette ? Tu devrais faire attention.


Loustiquette : Je t'en pose des questions ?
Ne t'occupes pas de mon poids. Juste du tien.


Hisia : Tu ne devrais pas dire ça Loustiquette. Tu as l'air un peu ridicule. J'ai maigri moi.


Sur ces considérations bien réelles on fini par autre chose.

Loustiquette déboussollée. Jusqu'à ce matin à sa droite il y avait un néflier. Ici personne n'aime couper des arbres, mais il empiétait beaucoup dans le cerisier et surtout dans le kumquat. Alors il a bien fallu se résoudre à le couper. Et la demoiselle ne comprend pas pourquoi on lui a changé son paysage.


Une petite gueule d'amour ..
La beauté féline, la diversité de la beauté féline.
Petit félin au look sauvage.


Gros chat à rayure.


Je sais, ce n'est pas un félin...
C'était vendredi vers 17h30, petite balade. Il était face au soleil de fin de journée, à même pas dix mètres, en train de ruminer.
Il commence à roussir.
Le roux sera sa couleur estivale.


Orchidées. Il y en a plusieurs pots. Dommage qu'elles soient emprisonnées, mais c'est la seule façon pour qu'elles ne soient pas dévorées.


Le pieds d'origine a une trentaine d'années.
Ce sont des orchidées d'extérieur, du moins ici.
Elles se dédoublent très facilement et à l'infini ....


Et pour finir, ma petite beauté sauvage et si civilisée. Mon âme soeur.


Avec de mignonnes petites oreilles ....


Portez vous bien. Profitez du printemps.

lundi 6 avril 2015

Cinq heures le temps des rencontres

Mais commençons un peu plus tôt

C'est l'heure ...


Méfions nous.
Même pour un gourmand totalement inconscient, une distance de sécurité de 3 mètres c'est peu.


C'est bon ce petit encas de graines.


Vraiment bon même ....


Remarquez la robe de saison, mi hiver mi printemps... 


Et le look ... attention j'attaque.
A moins que ce ne soit j'ai peur, elle a bougé l'autre avec son appareil. Je me sauve ou je continue à manger ?


14h00, l'heure d'une balade digestive


 Et au passage un petit marquage.


Loustiquette : Pourquoi tu me regardes comme ça ? Ca pu le chat noir ici. Il faut bien remettre les pendules à l'heure !


Loustiquette : Tu comprends pas ? Pourtant c'est simple. Le tronc d'olivier c'est l'arbre à messages.


La Princesse de ces lieux posant au pied d'un olivier. Ca fait très Côté d'Azur.


La star de plus prés ...
L'air concentré !


En enfin cinq heures
L'heure du thé ou du goutter

Hisia : Encore là celui là.
Fais gaffe à toi !


 Chat noir : Je me sens bien ici.


Chat noir : Très bien même.


Chat noir : Pourquoi tu me regardes comme ça.


Chat noir : Et si tu me faisais plutôt un câlin.


Chat noir : C'est agréable et en plus ça agace la petite peste.

Soit dit en passant la petite peste elle arrive à le chasser, pourtant il est entier et il est à peu près 2 fois plus grand qu'elle.
C'est un casse-pied, un pot de colle. 
Il ne serait  pas gênant si il n'était pas entier.


Hisia : Mais il se croit où ? Encore la faute du Papy ça. Encore un qui a une maison mais qui trouve le moyen de se faire nourrir ici.


Hisia : Mais je rêve ou quoi. Le couvert de temps en temps du moment que c'est pas mon Almo, je veux bien. Mais les câlins ça c'est non!


Hisia : Ah ça m'énerve. Retenez moi ou je fais un malheur !


Loustiquette : Mais ne t'énerves pas Hisia, fais comme moi regardes ça de loin.
Viens dedans avec moi.


Hisia : C'est bizarre on dirait que tu es dans un autre dehors et que Nat à Chat est avec toi. Pourtant elle est avec moi dehors.


 Hisia : N'empêche qu'il m'agace.


Hisia : Si ça continue  je vais lui rappeler quelques règles élémentaires qu'il a l'air d'avoir oublier. Il va dégager vite fait.


Chat noir : Mais quel mauvais caractère l'aristo !


Chat noir : Moi qui suis si mignon...


Le jeune cornu : Coucou vous. Comment ça va ?


Chat noir : Elle a des drôles d'amis quand même l'aristo.
Qu'est ce qu'il a de plus que moi ?


Et dans la série des effrontées qui n'ont peur de rien à l'heure du thé ..


La tribu tourterelle.


Après l'heure du thé..

Hisia : Je ne vais pas vous laisser partir comme ça. Je vous offre un peu de fleurs.
On ne sait pas comment ça s'appelle mais ici il y en a plein partout et cette année ils se sont surpassés les buissons jaunes.



Hisia : Et voilà, ici c'est le début de la route, alors il faut que je remonte.
A bientôt.

Hisia : Portez vous bien.